Histoires droles ... ou pas
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Tootsienet
Caféine
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Re: Histoires droles ... ou pas
Tir au but
A l’hôpital :
Un monsieur est seul, dans sa chambre d’hôpital, avec la tête enveloppée d’un solide pansement.
L’infirmière entre et lui dit :
Mon pauvre monsieur, votre femme doit vous manquer ?
L’homme lui répond :
D’habitude oui, mais cette fois-ci, elle m’a eu ! En plein dans le mille…
A l’hôpital :
Un monsieur est seul, dans sa chambre d’hôpital, avec la tête enveloppée d’un solide pansement.
L’infirmière entre et lui dit :
Mon pauvre monsieur, votre femme doit vous manquer ?
L’homme lui répond :
D’habitude oui, mais cette fois-ci, elle m’a eu ! En plein dans le mille…
Re: Histoires droles ... ou pas
Pépé et Mémé
Pépé et Mémé se rendent chez leur médecin traitant pour une petite visite annuelle.
Alors, Pépé, comment vous sentez-vous ? J’ai vos résultats d’analyses, et tout va bien !!! Vous êtes en pleine forme, dit le médecin. Des questions ?
Ben, en fait Docteur, y’a bien un p’tit truc qui me chiffonne, quand je fais l’amour à ma femme, la première fois, j’ai très chaud et je suis en sueur, et la deuxième fois, je suis gelé, et je tremble comme une feuille !
Ah bon ???? Non, vraiment je ne vois pas ce qui pourrais provoquer ces symptômes, je vais consulter mes revues, et je vous tiendrais informé. A votre dame maintenant…
Pépé sort et Mémé prend sa place avec ce bon vieux Docteur.
Même topo, Mémé est en super forme, aucun souci de santé.
Tout va bien Mémé, mais j’ai une petite question à vous poser, votre mari m’a expliqué que lorsque vous faisiez l’amour, la première fois il avait très chaud, et la deuxième fois très froid, je vous avoue que cela me laisse pantois, je ne vois d’où peut venir de tels changements de température…
Mémé y réfléchi et tout à coup s’écrit :
Mais quel con !!! C’est tout simplement parce que la première fois c’est en juin, et la deuxième en décembre, pardi !!!
Pépé et Mémé se rendent chez leur médecin traitant pour une petite visite annuelle.
Alors, Pépé, comment vous sentez-vous ? J’ai vos résultats d’analyses, et tout va bien !!! Vous êtes en pleine forme, dit le médecin. Des questions ?
Ben, en fait Docteur, y’a bien un p’tit truc qui me chiffonne, quand je fais l’amour à ma femme, la première fois, j’ai très chaud et je suis en sueur, et la deuxième fois, je suis gelé, et je tremble comme une feuille !
Ah bon ???? Non, vraiment je ne vois pas ce qui pourrais provoquer ces symptômes, je vais consulter mes revues, et je vous tiendrais informé. A votre dame maintenant…
Pépé sort et Mémé prend sa place avec ce bon vieux Docteur.
Même topo, Mémé est en super forme, aucun souci de santé.
Tout va bien Mémé, mais j’ai une petite question à vous poser, votre mari m’a expliqué que lorsque vous faisiez l’amour, la première fois il avait très chaud, et la deuxième fois très froid, je vous avoue que cela me laisse pantois, je ne vois d’où peut venir de tels changements de température…
Mémé y réfléchi et tout à coup s’écrit :
Mais quel con !!! C’est tout simplement parce que la première fois c’est en juin, et la deuxième en décembre, pardi !!!
Le sept pas le cèpe!
Le sept
Encore aujourd’hui, de nombreuses personnes, en écrivant le chiffre sept, utilisent une barre supplémentaire horizontale au milieu du chiffre.
La plupart des typographies l’ont fait disparaître aujourd’hui, comme vous pouvez le constater ici : 7
Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu’à nos jours?
Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques :
Lorsque Moise eut gravi le mont Sinaï et que les 10 commandements lui furent dictés, il redescendit vers son peuple et leur lut, à haute et forte voix, chaque commandement.
Arrivé au septième, il annonça:
– Tu ne désireras pas la femme de ton prochain.
Et là, de nombreuses voix s’élevèrent parmi le peuple lui criant :
– Barre le sept, barre le sept !!!…
Encore aujourd’hui, de nombreuses personnes, en écrivant le chiffre sept, utilisent une barre supplémentaire horizontale au milieu du chiffre.
La plupart des typographies l’ont fait disparaître aujourd’hui, comme vous pouvez le constater ici : 7
Mais savez-vous pourquoi cette barre a survécu jusqu’à nos jours?
Il faut remonter bien loin, aux temps bibliques :
Lorsque Moise eut gravi le mont Sinaï et que les 10 commandements lui furent dictés, il redescendit vers son peuple et leur lut, à haute et forte voix, chaque commandement.
Arrivé au septième, il annonça:
– Tu ne désireras pas la femme de ton prochain.
Et là, de nombreuses voix s’élevèrent parmi le peuple lui criant :
– Barre le sept, barre le sept !!!…
drôle ou pas drôle...
Accouchement sans douleur
Un couple se rend à l’hôpital pour l’accouchement de la femme.
En entrant à l’hôpital, leur médecin les informe qu’ils peuvent essayer un nouvel appareil expérimental qui permet de transférer une partie de la douleur de l’accouchement au père.
Le couple en discute brièvement et sont très en faveur de cette idée.
L’accouchement débute et le médecin place le bouton de transfert de douleur à 10% pour commencer, expliquant que même 10% de la douleur de l’accouchement était probablement plus que ce que le père avait jamais ressenti dans sa vie.
Mais l’accouchement progresse et le mari se sent bien. Il demande donc au médecin d’augmenter la dose pour soulager sa femme. Le médecin hausse donc le transfert de douleur à 20%. Il vérifie constamment la pression et le rythme cardiaque du mari et est très de constater qu’il semble supporter la douleur de façon remarquable. Le mari demande donc d’augmenter encore le pourcentage et le médecin tourne le bouton jusqu’à 50%. Le mari tient encore le coup admirablement et finalement, à la demande du mari, le bouton est tourné jusqu’à 100%.
La femme donne naissance à un beau gros bébé en santé presque sans aucune douleur. Le couple est émerveillé par une telle technologie. Tout se passe comme sur des roulettes jusqu’à ce qu’ils retournent à la maison où ils découvrent le facteur mort sur le perron…
Un couple se rend à l’hôpital pour l’accouchement de la femme.
En entrant à l’hôpital, leur médecin les informe qu’ils peuvent essayer un nouvel appareil expérimental qui permet de transférer une partie de la douleur de l’accouchement au père.
Le couple en discute brièvement et sont très en faveur de cette idée.
L’accouchement débute et le médecin place le bouton de transfert de douleur à 10% pour commencer, expliquant que même 10% de la douleur de l’accouchement était probablement plus que ce que le père avait jamais ressenti dans sa vie.
Mais l’accouchement progresse et le mari se sent bien. Il demande donc au médecin d’augmenter la dose pour soulager sa femme. Le médecin hausse donc le transfert de douleur à 20%. Il vérifie constamment la pression et le rythme cardiaque du mari et est très de constater qu’il semble supporter la douleur de façon remarquable. Le mari demande donc d’augmenter encore le pourcentage et le médecin tourne le bouton jusqu’à 50%. Le mari tient encore le coup admirablement et finalement, à la demande du mari, le bouton est tourné jusqu’à 100%.
La femme donne naissance à un beau gros bébé en santé presque sans aucune douleur. Le couple est émerveillé par une telle technologie. Tout se passe comme sur des roulettes jusqu’à ce qu’ils retournent à la maison où ils découvrent le facteur mort sur le perron…
Les bars sont fermé même de l'intérieur
L’ouverture du bar
Deux heures du matin.
Le téléphone sonne à la réception d’un grand hôtel. Le veilleur de nuit décroche.
Allô ? fait une voix pâteuse au bout du fil. A quelle heure ouvre le bar ?
Dix heures, monsieur.
Une heure plus tard, nouvel appel. Le type bredouille :
Allô ? A quelle heure il ouvre le bar ?
Dix heures, monsieur.
Une heure après le même client, de plus en plus éméché, redemande :
Allô… allô ? A quelle… heu… à quelle heure qu’il ouvre votre bar ?
Je vous l’ai déjà dit, à dix heures, monsieur. Toutefois, dans l’état où vous êtes, ça m’étonnerait qu’on vous laisse entrer.
Mais je veux pas y entrer… je veux en sortir !
Deux heures du matin.
Le téléphone sonne à la réception d’un grand hôtel. Le veilleur de nuit décroche.
Allô ? fait une voix pâteuse au bout du fil. A quelle heure ouvre le bar ?
Dix heures, monsieur.
Une heure plus tard, nouvel appel. Le type bredouille :
Allô ? A quelle heure il ouvre le bar ?
Dix heures, monsieur.
Une heure après le même client, de plus en plus éméché, redemande :
Allô… allô ? A quelle… heu… à quelle heure qu’il ouvre votre bar ?
Je vous l’ai déjà dit, à dix heures, monsieur. Toutefois, dans l’état où vous êtes, ça m’étonnerait qu’on vous laisse entrer.
Mais je veux pas y entrer… je veux en sortir !
Re: Histoires droles ... ou pas
Problème de couple
Un couple a de très mauvaises relations.
Résultat: quand l’un a quelque chose à dire à l’autre, il le lui écrit sur un bout de papier.
Un soir, le mari remet un mot à sa femme : » S’il te plaît, réveille-moi à sept heures demain matin. «
Le lendemain matin, le type se réveille.
Tiens ? Elle n’est plus là. Et il est dix heures passées !!! dit-il furax.
Il se retourne et trouve un bout de papier sur son lit : » Réveille-toi, il est sept heures ! «
Un couple a de très mauvaises relations.
Résultat: quand l’un a quelque chose à dire à l’autre, il le lui écrit sur un bout de papier.
Un soir, le mari remet un mot à sa femme : » S’il te plaît, réveille-moi à sept heures demain matin. «
Le lendemain matin, le type se réveille.
Tiens ? Elle n’est plus là. Et il est dix heures passées !!! dit-il furax.
Il se retourne et trouve un bout de papier sur son lit : » Réveille-toi, il est sept heures ! «
Re: Histoires droles ... ou pas
Un clochard;
-mais je vous reconnais... le jour du nouvel an vous m'avez souhaité la bonne année et la bise!
-Les passants.. on ne vous connait pas on était bourrés.
-mais je vous reconnais... le jour du nouvel an vous m'avez souhaité la bonne année et la bise!
-Les passants.. on ne vous connait pas on était bourrés.
une autre...
La recrue
Dans une caserne de Gendarmerie, le Capitaine croise un jeune élève-gendarme fraîchement débarqué de l’école de Gendarmerie.
Comment vous appelez-vous, mon garçon ?
Yves, et vous ?
Le capitaine, furieux, s’écrie :
Mon petit bonhomme, je ne sais pas d’où vous arrivez, mais sachez que je suis le Capitaine et que je m’appelle Mon CAPITAINE. De même, dans ma compagnie, j’appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Yves Tartempion, je vous appellerai Tartempion, mais pas Yves. Me suis-je bien fait comprendre ?
Oui, mon capitaine.
Alors, c’est quoi votre nom de famille ?
Montcherry…
Très bien, Yves, au travail.
Dans une caserne de Gendarmerie, le Capitaine croise un jeune élève-gendarme fraîchement débarqué de l’école de Gendarmerie.
Comment vous appelez-vous, mon garçon ?
Yves, et vous ?
Le capitaine, furieux, s’écrie :
Mon petit bonhomme, je ne sais pas d’où vous arrivez, mais sachez que je suis le Capitaine et que je m’appelle Mon CAPITAINE. De même, dans ma compagnie, j’appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Yves Tartempion, je vous appellerai Tartempion, mais pas Yves. Me suis-je bien fait comprendre ?
Oui, mon capitaine.
Alors, c’est quoi votre nom de famille ?
Montcherry…
Très bien, Yves, au travail.
Re: Histoires droles ... ou pas
Que crie une poule quand elle pond?
Quels sont les chiffres que crie une poule quand elle a pondu un œuf ?
4 4 7 1 9 (cot cot c’est un oeuf)
Quels sont les chiffres que crie une poule quand elle a pondu un œuf ?
4 4 7 1 9 (cot cot c’est un oeuf)
Re: Histoires droles ... ou pas
Le tiercé
Deux turfistes discutent.
Dis-moi, demande le premier, comment fais-tu pour toucher aussi souvent le tiercé ? T’as une combine ? T’es de mèche avec un entraîneur ?
Comme tu es mon ami, je vais te donner le tuyau, dit l’autre. tu es croyant ?
Oui… Enfin, comme tout le monde.
Alors dimanche matin, tu vas aller à la messe. Tu vas prier très fort, et au moment de la communion, tu demanderas à Dieu de te souffler la bonne combinaison. Crois-moi, ça marche…
Le lundi suivant, dès qu’il l’aperçoit, son copain lui dit :
Ah, je te retiens ! Hier, pour le tiercé de Longchamp, je suis allé à la messe comme tu me l’as dit, j’ai prié, et à la communion, Dieu m’a soufflé le 7, le 15 et le 3. Le 7 a fini cinquième, le 15 douzième, et le 3 dernier !
Je ne comprends pas… fait l’autre. A quelle église es-tu allé ?
A Saint-Philippe-du-Roule…
Imbécile ! Saint-Philippe-du-Roule, c’est pour le trot attelé !
Deux turfistes discutent.
Dis-moi, demande le premier, comment fais-tu pour toucher aussi souvent le tiercé ? T’as une combine ? T’es de mèche avec un entraîneur ?
Comme tu es mon ami, je vais te donner le tuyau, dit l’autre. tu es croyant ?
Oui… Enfin, comme tout le monde.
Alors dimanche matin, tu vas aller à la messe. Tu vas prier très fort, et au moment de la communion, tu demanderas à Dieu de te souffler la bonne combinaison. Crois-moi, ça marche…
Le lundi suivant, dès qu’il l’aperçoit, son copain lui dit :
Ah, je te retiens ! Hier, pour le tiercé de Longchamp, je suis allé à la messe comme tu me l’as dit, j’ai prié, et à la communion, Dieu m’a soufflé le 7, le 15 et le 3. Le 7 a fini cinquième, le 15 douzième, et le 3 dernier !
Je ne comprends pas… fait l’autre. A quelle église es-tu allé ?
A Saint-Philippe-du-Roule…
Imbécile ! Saint-Philippe-du-Roule, c’est pour le trot attelé !
bonne année
Chambres à part
C’est le petit Thomas qui va voir sa mamie pour lui parler de leur nouvelle maison.
Alors dis moi mon petit chéri, tu es content d’avoir enfin ta chambre pour toi tout seul ?
Oh oui maintenant Valentin et moi avons notre propre chambre, en plus la mienne est beaucoup plus grande que la sienne et on a une jolie vue !! Par contre pour Papa, c’est pas la joie…
Et bien pourquoi ?
Bah il doit encore partager sa chambre avec maman !!!
C’est le petit Thomas qui va voir sa mamie pour lui parler de leur nouvelle maison.
Alors dis moi mon petit chéri, tu es content d’avoir enfin ta chambre pour toi tout seul ?
Oh oui maintenant Valentin et moi avons notre propre chambre, en plus la mienne est beaucoup plus grande que la sienne et on a une jolie vue !! Par contre pour Papa, c’est pas la joie…
Et bien pourquoi ?
Bah il doit encore partager sa chambre avec maman !!!
bier ou bierre
Sur un chantier
Un ouvrier en bâtiment va commencer sa journée de travail avec son nouveau collègue.
Il lui explique les instructions qu’il donnera quand il sera sur l’échafaudage :
Si je te montre un doigt, tu montes du ciment. Si je te montre deux doigts, tu montes avec des briques. Si je te montre trois doigts, attention, tu dois me monter une bonne Bier bien froide.
Il est occupé depuis un moment sur son échafaudage et appelle le collègue en lui montrant trois doigts. L’autre regarde en l’air et tourne ses mains. Le premier lui remontre alors trois doigts. Et à nouveau, le collègue tourne les mains en montrant la paume et le dos de la main.
Énervé, l’ouvrier descend en criant :
Et alors espèce d’abruti, je t’avais pourtant dit que trois doigts signifiait une Bier bien froide.
Et le collègue de répondre :
Et moi, je te demandais si tu voulais une blonde ou une brune !
Un ouvrier en bâtiment va commencer sa journée de travail avec son nouveau collègue.
Il lui explique les instructions qu’il donnera quand il sera sur l’échafaudage :
Si je te montre un doigt, tu montes du ciment. Si je te montre deux doigts, tu montes avec des briques. Si je te montre trois doigts, attention, tu dois me monter une bonne Bier bien froide.
Il est occupé depuis un moment sur son échafaudage et appelle le collègue en lui montrant trois doigts. L’autre regarde en l’air et tourne ses mains. Le premier lui remontre alors trois doigts. Et à nouveau, le collègue tourne les mains en montrant la paume et le dos de la main.
Énervé, l’ouvrier descend en criant :
Et alors espèce d’abruti, je t’avais pourtant dit que trois doigts signifiait une Bier bien froide.
Et le collègue de répondre :
Et moi, je te demandais si tu voulais une blonde ou une brune !
Re: Histoires droles ... ou pas
Le jour de mon anniversaire
Un jour j’ai rencontré un gentil Monsieur et nous sommes tombés amoureux. Nous devions nous marier, alors j’ai cessé de manger mon plat préféré… Les fèves au lard.
Quelques mois plus tard, le jour de mon anniversaire, je suis tombée en panne sur le retour pour la maison. J’ai donc appelé mon mari pour le prévenir que je serais en retard, car il me fallait marcher jusqu’à la maison.
En marchant, je passe devant un petit resto d’où émane une odeur de fèves au lard à laquelle je ne peux résister. Vu les kilomètres qu’il me reste à marcher, je me dis que les « effets » seraient sûrement passés avant d’arriver à la maison. Alors je m’arrête et, sans m’en apercevoir, j’avais bouffé trois grandes portions de fèves au lard.
A mon arrivée, je fus surprise de voir mon mari déjà rentré, tout excité de me voir et qui s’exclame: « Chérie, j’ai une surprise pour le souper ce soir ».
Alors il met un foulard sur mes yeux et me fait asseoir à table. En m’asseyant, le téléphone sonne juste comme il allait me retirer le foulard. Il me fait promettre de ne pas y toucher avant qu’il ne revienne et va répondre.
Les fèves que j’avais avalées me faisaient toujours effet (du tonnerre) et la pression devient intenable; alors mon mari n’étant pas dans la pièce, j’en ai profitai. Je bougeai mon poids sur une jambe et en échappai un. Non seulement il était bruyant, mais l’odeur était comme celle d’un camion de rebuts passant sur une mouffette !
Je pris ma serviette de table pour faire circuler l’air autour de moi vigoureusement. Balançant mon poids sur l’autre jambe, j’en évacuai trois de plus. L’odeur était pire que le chou cuit.
Attentive à la conversation de mon mari dans l’autre pièce, je continuai ainsi durant quelques minutes. Le plaisir était indescriptible. Alors que les salutations au téléphone signalaient la fin de ma liberté, de nouveau j’aérai autour de moi avec ma serviette, la replaçai sur mes genoux et me croisai les mains, soulagée et fière de moi.
Mon visage reflétait l’innocence au retour de mon mari qui s’excusa d’avoir été aussi long. Il me demanda si j’avais triché et regarda autour de lui; je lui assurai que non.
C’est alors qu’il retira le foulard et que douze invités assis autour de la table crièrent en chœur:
« Bon Anniversaire ! »
Un jour j’ai rencontré un gentil Monsieur et nous sommes tombés amoureux. Nous devions nous marier, alors j’ai cessé de manger mon plat préféré… Les fèves au lard.
Quelques mois plus tard, le jour de mon anniversaire, je suis tombée en panne sur le retour pour la maison. J’ai donc appelé mon mari pour le prévenir que je serais en retard, car il me fallait marcher jusqu’à la maison.
En marchant, je passe devant un petit resto d’où émane une odeur de fèves au lard à laquelle je ne peux résister. Vu les kilomètres qu’il me reste à marcher, je me dis que les « effets » seraient sûrement passés avant d’arriver à la maison. Alors je m’arrête et, sans m’en apercevoir, j’avais bouffé trois grandes portions de fèves au lard.
A mon arrivée, je fus surprise de voir mon mari déjà rentré, tout excité de me voir et qui s’exclame: « Chérie, j’ai une surprise pour le souper ce soir ».
Alors il met un foulard sur mes yeux et me fait asseoir à table. En m’asseyant, le téléphone sonne juste comme il allait me retirer le foulard. Il me fait promettre de ne pas y toucher avant qu’il ne revienne et va répondre.
Les fèves que j’avais avalées me faisaient toujours effet (du tonnerre) et la pression devient intenable; alors mon mari n’étant pas dans la pièce, j’en ai profitai. Je bougeai mon poids sur une jambe et en échappai un. Non seulement il était bruyant, mais l’odeur était comme celle d’un camion de rebuts passant sur une mouffette !
Je pris ma serviette de table pour faire circuler l’air autour de moi vigoureusement. Balançant mon poids sur l’autre jambe, j’en évacuai trois de plus. L’odeur était pire que le chou cuit.
Attentive à la conversation de mon mari dans l’autre pièce, je continuai ainsi durant quelques minutes. Le plaisir était indescriptible. Alors que les salutations au téléphone signalaient la fin de ma liberté, de nouveau j’aérai autour de moi avec ma serviette, la replaçai sur mes genoux et me croisai les mains, soulagée et fière de moi.
Mon visage reflétait l’innocence au retour de mon mari qui s’excusa d’avoir été aussi long. Il me demanda si j’avais triché et regarda autour de lui; je lui assurai que non.
C’est alors qu’il retira le foulard et que douze invités assis autour de la table crièrent en chœur:
« Bon Anniversaire ! »
Re: Histoires droles ... ou pas
A l’hôpital
Bonjour ! C’est la réception ? J’aimerais parler avec quelqu’un à propos d’un patient qui se trouve chez vous. J’aurais souhaité connaître son état de santé, savoir s’il va mieux ou si son problème s’est aggravé.
Quel est le nom du patient ?
Il s’appelle Jean Dupont et il est à la chambre 302.
Un instant je vous prie, je vous passe l’infirmière.
Après une longue attente :
Bonjour, ici mademoiselle Rose, l’infirmière de service. Que puis-je pour vous ?
J’aimerais connaître l’état du patient Jean Dupont de la chambre 302.
Un instant je vais essayer de trouver le médecin de garde.
Après une plus longue attente :
Ici le Dr. Lenoir, le médecin de garde ; je vous Écoute.
Bonjour Docteur, je voudrais savoir quel est l’état de Monsieur Jean Dupont, qui se trouve chez vous depuis 3 semaines à la chambre 302.
Un instant, je vais consulter le dossier du patient.
Après encore une autre attente :
Huuuummm, le voici : il a bien mangé aujourd’hui, sa pression artérielle et son pouls sont stables, il réagit bien aux médicaments prescrits et normalement on va lui enlever le monitoring cardiaque demain.
Si tout continue comme ça encore 48 heures, son médecin signera sa sortie d’ici le Week-end.
Aaahhh ! Ce sont des nouvelles merveilleuses ! Je suis fou de joie. Merci.
Par votre façon de parler je suppose que vous devez être quelqu’un de très proche, certainement de la famille ?
Non, Monsieur ! Je suis Jean Dupont moi-même et je vous appelle du 302 ! Tout le monde entre et sort ici de ma chambre et personne ne me dit rien. Je voulais juste savoir comment je me porte.
Bonjour ! C’est la réception ? J’aimerais parler avec quelqu’un à propos d’un patient qui se trouve chez vous. J’aurais souhaité connaître son état de santé, savoir s’il va mieux ou si son problème s’est aggravé.
Quel est le nom du patient ?
Il s’appelle Jean Dupont et il est à la chambre 302.
Un instant je vous prie, je vous passe l’infirmière.
Après une longue attente :
Bonjour, ici mademoiselle Rose, l’infirmière de service. Que puis-je pour vous ?
J’aimerais connaître l’état du patient Jean Dupont de la chambre 302.
Un instant je vais essayer de trouver le médecin de garde.
Après une plus longue attente :
Ici le Dr. Lenoir, le médecin de garde ; je vous Écoute.
Bonjour Docteur, je voudrais savoir quel est l’état de Monsieur Jean Dupont, qui se trouve chez vous depuis 3 semaines à la chambre 302.
Un instant, je vais consulter le dossier du patient.
Après encore une autre attente :
Huuuummm, le voici : il a bien mangé aujourd’hui, sa pression artérielle et son pouls sont stables, il réagit bien aux médicaments prescrits et normalement on va lui enlever le monitoring cardiaque demain.
Si tout continue comme ça encore 48 heures, son médecin signera sa sortie d’ici le Week-end.
Aaahhh ! Ce sont des nouvelles merveilleuses ! Je suis fou de joie. Merci.
Par votre façon de parler je suppose que vous devez être quelqu’un de très proche, certainement de la famille ?
Non, Monsieur ! Je suis Jean Dupont moi-même et je vous appelle du 302 ! Tout le monde entre et sort ici de ma chambre et personne ne me dit rien. Je voulais juste savoir comment je me porte.
Re: Histoires droles ... ou pas
La découpeuse
Bill travaillait dans une usine de cornichons.
Il y travaillait depuis plusieurs années, quand un soir il rentre chez lui, et confesse à sa femme qu’il a une tentation terrible : il a envie de mettre un doigt dans la découpeuse de cornichons.
Sa femme lui suggère d’aller voir un thérapeute pour en parler, mais Bill déclare qu’il serait trop embarrassé. Il jure de combattre cette tentation seul.
Quelques semaines plus tard, Bill rentre chez lui.
Sa femme voit tout de suite que quelque chose ne va pas.
Qu’est-ce qui ne va pas Bill ?, demande-t-elle.
Tu te souviens de mon fantasme à propos de la découpeuse de cornichons ?
Oh, non Bill, tu n’as pas…
Si.
Mon Dieu Bill que s’est il passé ?
J’ai été viré.
Non, je veux dire, que s’est il passé avec la découpeuse ?
Elle aussi a été virée…
Bill travaillait dans une usine de cornichons.
Il y travaillait depuis plusieurs années, quand un soir il rentre chez lui, et confesse à sa femme qu’il a une tentation terrible : il a envie de mettre un doigt dans la découpeuse de cornichons.
Sa femme lui suggère d’aller voir un thérapeute pour en parler, mais Bill déclare qu’il serait trop embarrassé. Il jure de combattre cette tentation seul.
Quelques semaines plus tard, Bill rentre chez lui.
Sa femme voit tout de suite que quelque chose ne va pas.
Qu’est-ce qui ne va pas Bill ?, demande-t-elle.
Tu te souviens de mon fantasme à propos de la découpeuse de cornichons ?
Oh, non Bill, tu n’as pas…
Si.
Mon Dieu Bill que s’est il passé ?
J’ai été viré.
Non, je veux dire, que s’est il passé avec la découpeuse ?
Elle aussi a été virée…
y a pas de souci...
La blonde et le ventriloque
Un ventriloque qui fait la tournée des clubs, s’arrête dans une petite ville pour une représentation.
Il commence son show en racontant des blagues sur les blondes, quand une très belle jeune femme blonde se lève et hurle :
J’en ai assez de vos blagues stupides sur les blondes, enfoiré ! Qu’est ce qui vous permet de stéréotyper les femmes de cette façon ?
Quel rapport peut avoir la couleur de cheveux d’une personne avec sa personnalité et son esprit ?
Ce sont de pauvres gens comme vous qui empêchent des femmes comme moi d’être respectée professionnellement et humainement. A cause de vous et de vos préjugés les gens continuent de répandre ce genre de légende. Vous êtes un retardé pathétique et ce que vous faites est non seulement contraire à la loi sur la discrimination de tout pays civilisé mais également extrêmement offensant pour toute personne sensible au respect de l’homme en général. Vous devriez en mourir de honte !
L’homme commence à bafouiller des excuses, quand la blonde l’interrompt :
Vous… restez en dehors de ça ! Je parle au petit monsieur qui est assis sur vos genoux !
Un ventriloque qui fait la tournée des clubs, s’arrête dans une petite ville pour une représentation.
Il commence son show en racontant des blagues sur les blondes, quand une très belle jeune femme blonde se lève et hurle :
J’en ai assez de vos blagues stupides sur les blondes, enfoiré ! Qu’est ce qui vous permet de stéréotyper les femmes de cette façon ?
Quel rapport peut avoir la couleur de cheveux d’une personne avec sa personnalité et son esprit ?
Ce sont de pauvres gens comme vous qui empêchent des femmes comme moi d’être respectée professionnellement et humainement. A cause de vous et de vos préjugés les gens continuent de répandre ce genre de légende. Vous êtes un retardé pathétique et ce que vous faites est non seulement contraire à la loi sur la discrimination de tout pays civilisé mais également extrêmement offensant pour toute personne sensible au respect de l’homme en général. Vous devriez en mourir de honte !
L’homme commence à bafouiller des excuses, quand la blonde l’interrompt :
Vous… restez en dehors de ça ! Je parle au petit monsieur qui est assis sur vos genoux !
Re: Histoires droles ... ou pas
Le vaccin
Un médecin a décidé de vacciner un Anglais, un Français, un Allemand et un Américain.
Il dit à l’Anglais :
– C’est par ici votre vaccin s’il vous plaît.
– Je ne veux pas !
– Allez ! Un gentleman se ferait vacciner.
Et l’Anglais s’est fait vacciner.
Le médecin s’adresse à l’Allemand :
– Maintenant c’est ton tour.
– Non merci !
– C’est un ordre !
Et l’allemand s’est fait vacciner.
Le médecin s’adresse a l’Américain :
– Maintenant, c’est à votre tour.
– En aucun cas !
– Mais vous savez, votre voisin s’est fait vacciner.
Et l’américain s’est fait vacciner.
Le médecin s’adresse au Français :
– A vous maintenant !
– Je ne me ferai pas vacciner !
– Allez, un gentleman se ferait vacciner.
– En aucune façon !
– C’est un ordre !
– Non !
– Vous savez, votre voisin s’est fait vacciner…
– Je m’en fous !
– Écoutez… qui êtes-vous exactement ?
– Un Français.
– Ah, un Français ! De toutes façons, vous n’avez pas droit au vaccin.
– COMMENT ÇA, JE N’Y AI PAS DROIT ???!!!….
et le Français se fit vacciner.
Un médecin a décidé de vacciner un Anglais, un Français, un Allemand et un Américain.
Il dit à l’Anglais :
– C’est par ici votre vaccin s’il vous plaît.
– Je ne veux pas !
– Allez ! Un gentleman se ferait vacciner.
Et l’Anglais s’est fait vacciner.
Le médecin s’adresse à l’Allemand :
– Maintenant c’est ton tour.
– Non merci !
– C’est un ordre !
Et l’allemand s’est fait vacciner.
Le médecin s’adresse a l’Américain :
– Maintenant, c’est à votre tour.
– En aucun cas !
– Mais vous savez, votre voisin s’est fait vacciner.
Et l’américain s’est fait vacciner.
Le médecin s’adresse au Français :
– A vous maintenant !
– Je ne me ferai pas vacciner !
– Allez, un gentleman se ferait vacciner.
– En aucune façon !
– C’est un ordre !
– Non !
– Vous savez, votre voisin s’est fait vacciner…
– Je m’en fous !
– Écoutez… qui êtes-vous exactement ?
– Un Français.
– Ah, un Français ! De toutes façons, vous n’avez pas droit au vaccin.
– COMMENT ÇA, JE N’Y AI PAS DROIT ???!!!….
et le Français se fit vacciner.
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